Livres

Les hommes ne veulent pas d’enfants...

Qu’arriverait-il si... la sexualité disparaissait?

Les hommes ne veulent pas d’enfants…

Pourquoi écrire ce livre?
"Pour aider les hommes à sortir de leurs vieilles façons de penser et de leur souffrance muette… Cet essai décortique ma propre souffrance et ma réflexion depuis."

"Pour écrire ce livre, j’ai fait le tour de mon jardin secret. Je ne suis ni à part, ni au-dessus de ce que j’avance. J’ai des peurs, je les accueille et j’apprends à guérir. L’une d’elles et non la moindre, a été de croire que sans sexualité et territoire à protéger, un homme n’est rien. Afin de préserver mes illusions de puissance, j’ai développé un arsenal de tactiques pour présenter l’apparence d’un homme fort, viril, sécurisant, ouvert, hyper cool! Bleu, rose, quelle couleur voulez-vous? J’ai été caméléon…"

"La douleur transforme, dit-on. À ce moment-là, je suis loin d’imaginer à quel point. Plus que jamais, la rupture est à l’ordre du jour, les familles éclatent, ça craque de partout. Boulimique de lectures sur le sujet, j’ai tenté de comprendre. Longuement, j’ai médité sur cette expérience dramatique, la même que celle de nombreux de mes prédécesseurs autant que de ceux qui me succéderont sans doute. Pour m’apercevoir notamment que la blessure a été bien au-delà de mon amour-propre. Mais qu’est-ce donc dans la perte qui a fait si mal ? "

Qu’arriverait-il si… la sexualité disparaissait?

Comment se peut-il qu’une telle question soit posée? Serait-ce donc à ce point envisageable?

Patrice Berthiaume propose d’y réfléchir autrement. D’une manière peu commune, il convie chaque personne à évaluer ses propres croyances.

Auteur du livre “Les hommes ne veulent pas d’enfants...”, sa démarche demeure franche et son questionnement tout aussi pertinent. Poursuivant sa quête sur le sens de la sexualité, de l’amour, des relations, il repousse les frontières de certaines valeurs qui semblaient jusque-là inébranlables.

Un livre simple et épuré qui invite à plonger en soi, vers l'essentiel:
Qu’arriverait-il si la sexualité disparaissait?